|
|
|
|
mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Que vaudrait la vie...
19/02/2006 13:52
Que vaudrait la vie sans amour, Que reste-t-il de la vie sans amitié… Le neant... Avoir quelqu’un près de nous pour toujours… Sentir que l’on est apprécié. C'est la vie Que vaut l’amour sans vie, Que reste t-il de la vie sans ami? Le vide Que vaut la vie sans sentiment, Une vague déferlant dans les coups durs de la vie… Et c'est le naufrage!
| |
|
|
|
|
|
|
|
à toi mon ami
19/02/2006 12:13
Approche un peu ton cœur du mien, Qu’ils battent à l’unisson... Approche un peu et prends ma main, Ecoute ma chanson... C’est une chanson d’amour, Elle te parle de toi et de moi, Elle te dira jour après jour, Combien je tiens à toi... Tu m’as trouvée ... Comme le marin retrouvant une mer soumise Tu m’as trouvée... Je serai feu pour réchauffer ton cœur, Je serai étoile pour te montrer le bonheur, Je serai ton amie, je serai ta sœur, Tu oublieras vite tes peurs... Et toi aussi, tu apaiseras mes tourments Quand la lune me prendra dans son halo blanc... Tu seras mon chevalier, porte mes couleurs... Je serai la dame que tu appelles dame de cœur…
| |
|
|
|
|
|
|
|
Delicieux Abandon
19/02/2006 12:02
Ferme tes yeux, et sur les eaux calmes de tes pensées, laise toi porter. Ecoute les sons et les bruits. Une douce léthargie, de tes sens s'est emparée. La nature te murmure ses folies. A petits claquements d'ailes, une touterelle vient se poser. Ses roucoulements continus, s'invitent à te surprendre. L'hirondelle, de ses passages incessants, et ses cris rassurants, une joyeuse mélodie a composé. Le sifflement à trois temps du rouge-gorge, aux trilles du chardonneret vient se mélanger. Le gazouillis joyeux du moineau, avec celui du pinson s'est confondus. L'abeille, avec ses compagnes, des passages bourdonnants, à mon oreille s'est invitée. Mon esprit, d'elles se détournant, un froissement au sol s'éloignant, je surprends. Une délicieuse brise, de sa caresse, s'amuse à coiffer, le feuillage désordonné. Le ronflement d'un avion, son passage il vient d'installer. Cet oiseau là, à cette fête ne fut sollicité. Une péniche, son glissement je viens d'écouter. Par le bruit assourdi de ses machines, mon oreille ne fut point perturbée. Le claquement des feuilles, en musique de fond, vient s'offrir en douce panoplie. Dans les fourrés, quelque chose a remué, mais mes paupières je ne veux lever. Douceur du moment qui passe. Délicat voyage au sein de l'espace. Et si à la paresse j'ouvrais la porte, pour encore m'éloigner du rivage ? Les bruits et les sons s'espacent... Je viens de déposer les armes. Mes forces ont disparues, et avec délectation, mon abandon rejoint...

| |
|
|
|
|
|
|
|
Les deux amis
19/02/2006 11:35

Les deux amis
Deux vrais amis vivaient au Monomotapa : L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre : Les amis de ce pays-là Valent bien dit-on ceux du nôtre. Une nuit que chacun s'occupait au sommeil, Et mettait à profit l'absence du Soleil, Un de nos deux Amis sort du lit en alarme : Il court chez son intime, éveille les valets : Morphée avait touché le seuil de ce palais. L'Ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme ; Vient trouver l'autre, et dit : Il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paraissiez homme À mieux user du temps destiné pour le somme : N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu ? En voici. S'il vous est venu quelque querelle, J'ai mon épée, allons. Vous ennuyez-vous point De coucher toujours seul ? Une esclave assez belle Était à mes côtés : voulez-vous qu'on l'appelle ? Non, dit l'ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point : Je vous rends grâce de ce zèle. Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu ; J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru. Ce maudit songe en est la cause. Qui d'eux aimait le mieux, que t'en semble, Lecteur ? Cette difficulté vaut bien qu'on la propose. Qu'un ami véritable est une douce chose. Il cherche vos besoins au fond de votre cœur ; Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même. Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Jean de La Fontaine (1621-1695
| |
|
|
|
|